La référence technique au service des éleveurs

Listes des articles de Mathieu Lecourtier

Herd-book limousin

"Les éleveurs auront toujours besoin de reproducteurs de qualité"

Publié le 20/11/2020 par Mathieu Lecourtier dans
Le herd-book limousin enregistre une augmentation du nombre de vaches cotisantes sur la campagne 2019/2020 malgré un nombre d’adhérents en recul. ©Pixel6TM

« Le herd-book limousin (HBL) est assis sur de bonnes bases, avec en particulier l'absence d'emprunt en cours et un haut de bilan très positif », note Jean-Marc Alibert, président du HBL, lors de son assemblée générale nationale 2020 le 18 novembre dernier. « Cela peut nous permettre à l'avenir de soutenir et d'aider à l’amplification de la communication raciale, e

Maïs fourrage

Récolte moins mauvaise que prévue, mais qualité à surveiller

Publié le 16/11/2020 par Mathieu Lecourtier dans
En moyenne en France, le maïs fourrage aura fourni 11,9 tMS/ha aux éleveurs. Mais dans certaines régions, la moyenne cache de rendement de 5 tMS/ha. ©Mathieu Lecourtier/Média&agriculture

Les rendements sont finalement meilleurs que prévu sur le 1,4 million d’hectares de maïs fourrage que compte l’Hexagone en 2020. En moyenne, les rendements sont bons avec 11,9 tMS/ha, bien que légèrement en deçà de la moyenne 2015-2019, selon Arvalis-Institut du Végétal.

Fourragères

Quelles variétés pour les nouvelles conditions climatiques ?

Afin d’accroître leur efficience dans ce nouveau contexte climatiques, les variétés pourraient être notées en mélanges afin d’améliorer les préconisations pour ces derniers. ©Pixel6TM

Avant d’imaginer les variétés fourragères disponibles demain, faut-il encore identifier les caractéristiques attendues dans ce nouveau contexte climatique.

Bâtiments jeunes bovins

Appréhender la ventilation d’été

Pour qu'elle soit efficace, la ventilation d'été doit être réfléchie dès la conception du bâtiment.

Trop de courants d’air en hiver et pas assez en été est désagréable pour nous autres les hommes. Il en va de même pour les bovins. Et d’autant plus pour ceux qui sont en bâtiment toute l’année. Il convient donc d’y veiller pour les jeunes bovins à l’engraissement.

Binage du maïs

Le passage adapté aux adventices dominantes

Selon que la flore adventice dominante est dicotylédones ou graminées, la stratégie de binage va évoluer d'assez tardif dans le premier cas à précoce dans le second.

Dans un communiqué de presse du 25 mai 2018, Arvalis-Institut du végétal décrit comment réussir le binage dans les programmes de désherbage du maïs grains et fourrage. L’institut technique rappelle dans un premier temps :

Abreuvement des bovins

La disponibilité en eau ne s’improvise pas

Publié le 25/01/2018 par Mathieu Lecourtier dans
La qualité de l’eau détermine aussi la quantité d’eau bue par les bovins. Être en mesure de nettoyer les abreuvoir est donc essentiel.

Nombreux sont les facteurs qui influencent la quantité d’eau évacuée et ingérée par les bovins. On peut notamment citer leur caractéristiques propres (leur poids, leur état, le stade physiologique, le niveau de production laitière, etc.), les caractéristiques de la ration, les conditions climatiques, la qualité de l’eau et l’accès à cette dernière.

Causes des avortements en élevage ruminant

Données et protocoles standardisés avec Oscar

Un nouveau né mort dans les 12 heures qui suivent la mise bas est considéré comme un avortement. Photo : M. Lecourtier/Pixel image

Le coût d’un avortement est estimé entre 150 et 800 euros en élevage bovin selon le stade auquel il survient. Il comprend l’impact économique direct (perte du produit, de l’insémination artificielle, baisse de la productivité numérique) et indirect (ralentissement de la diffusion du progrès génétique, transmission de l’agent infectieux aux congénères…).

Abreuvement

Ne pas rebuter les bovins à l’abreuvoir

À partir de 2,5 g/l de bouse dans l'eau, les animaux ont tendance à bouder un abreuvoir. Photo : H.Grare/Pixel Image

Le museau humide, une résistance électrique bien inférieure à celle de l’homme, les animaux sont très sensibles aux courants parasites par tension de contact. Si une telle problématique existe dans un bâtiment d’élevage et donc, a fortiori, au niveau des abreuvoirs, les animaux vont avoir tendance à moins boire. Qui dit moindre abreuvement signifie moindre production.

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