« Le herd-book limousin (HBL) est assis sur de bonnes bases, avec en particulier l'absence d'emprunt en cours et un haut de bilan très positif », note Jean-Marc Alibert, président du HBL, lors de son assemblée générale nationale 2020 le 18 novembre dernier. « Cela peut nous permettre à l'avenir de soutenir et d'aider à l’amplification de la communication raciale, e
Les rendements sont finalement meilleurs que prévu sur le 1,4 million d’hectares de maïs fourrage que compte l’Hexagone en 2020. En moyenne, les rendements sont bons avec 11,9 tMS/ha, bien que légèrement en deçà de la moyenne 2015-2019, selon Arvalis-Institut du Végétal.
Avant d’imaginer les variétés fourragères disponibles demain, faut-il encore identifier les caractéristiques attendues dans ce nouveau contexte climatique.
Trop de courants d’air en hiver et pas assez en été est désagréable pour nous autres les hommes. Il en va de même pour les bovins. Et d’autant plus pour ceux qui sont en bâtiment toute l’année. Il convient donc d’y veiller pour les jeunes bovins à l’engraissement.
Dans un communiqué de presse du 25 mai 2018, Arvalis-Institut du végétal décrit comment réussir le binage dans les programmes de désherbage du maïs grains et fourrage. L’institut technique rappelle dans un premier temps :
Nombreux sont les facteurs qui influencent la quantité d’eau évacuée et ingérée par les bovins. On peut notamment citer leur caractéristiques propres (leur poids, leur état, le stade physiologique, le niveau de production laitière, etc.), les caractéristiques de la ration, les conditions climatiques, la qualité de l’eau et l’accès à cette dernière.
Le coût d’un avortement est estimé entre 150 et 800 euros en élevage bovin selon le stade auquel il survient. Il comprend l’impact économique direct (perte du produit, de l’insémination artificielle, baisse de la productivité numérique) et indirect (ralentissement de la diffusion du progrès génétique, transmission de l’agent infectieux aux congénères…).
Le museau humide, une résistance électrique bien inférieure à celle de l’homme, les animaux sont très sensibles aux courants parasites par tension de contact. Si une telle problématique existe dans un bâtiment d’élevage et donc, a fortiori, au niveau des abreuvoirs, les animaux vont avoir tendance à moins boire. Qui dit moindre abreuvement signifie moindre production.