Longtemps connu pour sa toxicité lorsqu’il est présent à trop forte dose, le sélénium est désormais reconnu comme utile et même essentiel par les chercheurs.
Ces formes organiques de sélénium sont absorbées de façon actives et sont directement assimilables par l’organisme. Elles peuvent également être stockées dans les tissus. Le sélénium minéral est, à l’inverse, absorbé de façon passive par gradient de concentration et ne permet donc pas de stockage par l’animal. Quant au sélénium de synthèse, il nécessite une étape supplémentaire avant d’intervenir dans l’organisme.
Le sélénium réduit l’impact des maladies
Selon Phileo, le Selsaf, qui s'utilise chez les volailles, les porcs, les ovins et les bovins, apporte donc une meilleure disponibilité de sélénium dans l’organisme de l’animal et favorise l’action d’une seleno-enzyme dans l’organisme : la glutathion peroxydase, dites "GPx", intervient dans la lutte contre le stress oxydatif.
le responsable volaille souligne :
Lorsqu’un animal est physiologiquement sollicité à un haut niveau, les effets pro-oxydant du métabolisme se développent et créent un déséquilibre dont les conséquences sont notamment une sensibilité accrue aux maladies.
Le sélénium a une double action sur la défense antioxydant pour stabiliser le métabolisme. La GPx, activée par le sélénium, limite l’oxydation dans le cytoplasme et dans la membrane cellulaire, et empêche la formation d’entités nocives pour l’organisme.
D’après les études présentées par Phileo, le sélénium réduit également l’impact des maladies et réduit ainsi la morbidité liée aux maladies respiratoires.
Alain Riggi détaille :
Selsaf augmente notamment la résistance des cellules contre les attaques des radicaux libres, et améliore la réponse vaccinale.
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