Afin d'accueillir sereinement et en toute sécurité sanitaire l’ensemble des participants, les organisateurs travaillent main dans la main avec les pouvoirs publics sur les mesures à mettre en place. Le protocole sanitaire, qui n’est pas encore définitif, sera communiqué dans les meilleurs délais à tous les exposants et visiteurs. Car malgré le contexte sanitaire délicat, la commercialisation des stands se déroule plutôt bien.
« À l’heure actuelle, avec près de 90 % des exposants déjà inscrits, nous sommes confiants pour prétendre à une belle édition » précise Fabrice Berthon, commissaire général du Salon.
Une programmation dense
Pour cette nouvelle édition, le planning des concours et des présentations animales affiche complet. Côté bovins viande, la race aubrac organisera son concours national avec ses 400 meilleurs spécimens en compétition et une vente aux enchères des meilleurs reproducteurs de la race le vendredi 9 octobre. Côté bovins lait, la race simmental organisera un concours européen avec des vaches en provenance d’Allemagne, d’Autriche et de France. Sans compter les concours traditionnels des autres races (montbéliarde, holstein, brune, normande…).Chez les ovins, les races texel et rava seront chacune en concours national, tandis que les races Île-de-France, mouton charollais et suffolk profiteront de l’événement pour organiser leurs concours interrégionaux. Tout comme les races ardennaise, comtoise, percheronne et bretonne du côté des équins.
De nombreuses animations professionnelles, rencontres d’affaires et autres visites d’élevages jalonneront également les trois jours du Salon. Un centre de conférences proposera aussi plus de trente colloques et conférences traitant des thèmes phares de l’actualité agricole.
Retrouvez ici le programme complet du Sommet de l'élevage.
