Le projet Albédo Prairies s’est intéressé, comme son nom l’indique, à l’albédo des prairies, c’est-à-dire leur faculté à réfléchir l’énergie solaire vers l’espace. Les premiers résultats sont prometteurs, les prairies auraient un effet refroidissant sur le climat, comparé à d’autres cultures.
Cette semaine, beaucoup de chantiers sont en cours dans les élevages. Ensilage d'herbe, de maïs, de maïs épi, regain : les éleveurs font les stocks pour cet hiver. En parralèle, les animaux profitent de ces belles journées et certains passent devant l'objectif.
Cette semaine sur les réseaux, les éleveurs ont mis en évidence le retour de la chaleur, le début des vêlages et la suite des ensilages. C’est parti pour un condensé des réseaux sociaux !
Depuis cinq ans, Thierry Mouchard, éleveur d’aubracs dans les Deux-Sèvres, sème des mélanges de céréales et de légumineuses en direct dans ses prairies. Cette technique, adaptée aux contraintes de l’exploitation, augmente la productivité de ses prairies de façon durable et, par la même occasion, génère une récolte annuelle d’enrubannage.
Depuis quelques jours l’ensilage de maïs a commencé dans une grande partie de la France. Dans les régions de l’Ouest, du Centre, du Sud-Ouest et en Alsace les éleveurs se sont emparés des réseaux sociaux pour partager leurs chantiers.
En Isère, l'entraide et la solidarité sont de mises lors de l’ensilage dans le Gaec de la Cime :
L’ensilage enrubanné trouve notamment ses adeptes auprès de ceux qui ensilent du maïs épi. Ce mode de conservation évite l’échauffement et les pertes, contrairement au silo couloir. Bien qu’un peu plus cher, il peut se justifier pour des produits à forte valeur énergétique.
L’ouverture d’un nouveau silo peut présenter un danger ponctuel mais potentiellement grave : il s’agit des « gaz de silos », dont le contact et l’inhalation peuvent entraîner des brûlures de la peau et des poumons.
Lors de la confection d’un silo d’ensilage, les équipements pour tasser doivent être dimensionnés pour absorber le débit de l’ensileuse. Avec la plupart des machines utilisées actuellement, l’idéal est de disposer de deux engins sur le tas. L’un pour pousser et étaler la matière, l’autre pour la tasser.