Depuis le 8 mars 2022, les premiers index issus de la méthode Single Step sont disponibles en bovins lait. L’objectif de cette méthode : améliorer la précision des résultats.
Dans quelques mois, les taureaux montbéliards seront indexés sur le critère du trayon surnuméraire. C’est ce qu’annonce Montbéliarde association, suite aux travaux de recherche conduits sur ce thème par une équipe d’Allice/Inrae, depuis 2018. L’occasion de mettre au point une méthode d’indexation qui devrait être amenée à se généraliser.
La volonté d’harmonisation des règles, régissant le secteur de l’amélioration génétique, a incité la Commission européenne à élaborer un réglement unique, paru au Journal officiel de l’Union européenne le 29 juin 2016 pour une application au 1
« Cela fait maintenant quelques années que les éleveurs ont l’habitude d’utiliser des outils électroniques et numériques. Certes, tout le monde n’est pas équipé d’un robot de traite ou d’alimentation mais je sais que ce soit dans leur élevage ou chez eux, les éleveurs comptent parmi le public le plus connecté », c’est avec ce constat que Jean-Luc Chauvel, président de Races de France, a ouvert le colloque sur l’intelligence artificielle au cœur de l’élevage.
Entre l’auroch sauvage dont on estime la taille au garrot (des mâles) à deux mètres, et la vache Dexter, tout juste 1 mètre au garrot, la stature des bovins a évolué sous l’effet de la génétique et de l’environnement.
"L’élevage français n’a jamais été autant décrié alors que les acteurs n’ont jamais autant amélioré leurs pratiques." C’est sur ce constat que Jean-Luc Chauvel, président de Races de France, a ouvert la journée élevage et société qui s’est tenue à Paris le 14 février.
Les cornes sont l’un des caractères phénotypiques les plus variables chez la vache : branlantes, avec ou sans... Pourtant, il a été difficile de savoir quel mutation génétique en est la cause nous explique l’Observatoire national des anomalies bovines (Onab).
Un élevage laitier passant de la saillie naturelle à l'insémination artificielle (schéma de sélection classique ou génomique) peut réduire son empreinte environnementale de 7 à 11 % en cinq ans.
2,5 milliards de milliards : c'est le nombre de données que notre monde produit quotidiennement. Du big data auquel l'agriculture contribue via les mesures et analyses qu'elle met en œuvre. Des données en croissance exponentielle avec le développement de la technologie, de la robotique et des capteurs.