Le croisement entre races bovines laitières reste très peu développé en France. Selon l’Inra, dans le contexte actuel de prix instables, tant pour les intrants que pour le lait commercialisé, « cette pratique apparaît comme une voie pertinente pour améliorer les performances technico-économiques des ateliers initialement en race pure Holstein et produisant jusqu’à 9 000 l/vache/an ».