Les animaux de Kévin Morel pâturent les couverts depuis plusieurs années, en pâturage tournant dynamique. Si la composition du mélange s’est affinée au fil du temps, elle répond toujours à un double objectif, agronomique et fourrager.
À Bourbon-Lancy, en Saône-et-Loire, au Gaec des Maringes, des couverts sont implantés depuis 2004, entre deux céréales d’hiver. Ils sont pâturés du 10 septembre au 15 octobre, à une période où la ressource fourragère est limitée.
Au Gaec du Rendez-vous, les vaches laitières ont toujours pâturé des dérobées. Aujourd’hui, le trèfle accompagne le RGI autrefois implanté pur, et l’association représente la ration hivernale des génisses pleines et des vaches taries.
L’été, les sécheresses semblent de plus en plus récurrentes et affectent la production de fourrage ainsi que la possibilité pour les animaux de pâturer sans recours à un affouragement au pré. Faut-il se tourner vers de nouvelles espèces issues de climats chauds et secs ? C’est ce que teste la ferme expérimentale des Bordes dans l’Indre.Â
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