D’après Jérôme Pavie, responsable du service fourrage et pastoralisme de l’Institut de l’élevage, optimiser et diversifier la production fourragère améliorent l’autonomie alimentaire des systèmes en polyculture-élevage.
Le repli de production de viande bovine enregistré en France en 2021 devrait se poursuivre cette année, selon les prévisions élaborées par le GEB-département économie de l’Institut de l’élevage. La production nette de bovins finis diminuerait de 1,4% en 2022, à 1,406 million de tonnes équivalent carcasse, après une baisse de 0,7% l’an passé.
Selon le programme Optialibio piloté par l’Institut de l’élevage, les élevages laitiers bio ont intérêt à gagner en autonomie alimentaire notamment pour faire face aux changements climatiques.
Le repli de production de viande bovine enregistré en France en 2017 devrait se poursuivre en 2018, sont les prévisions élaborées par le GEB-département de l'économie de l’Institut de l’élevage.
Le 8 janvier, à Rennes, a été officiellement lancé le projet Interreg Dairy-4-Future. L’objectif de ce programme européen ? Apporter des solutions techniques aux acteurs amont et aval de la filière laitière afin d’améliorer la résilience et la durabilité des systèmes laitiers de l’Espace Atlantique.
Connaissez-vous l’autonomie alimentaire de votre exploitation ?AutoSysEl, propose un diagnostic pour évaluer son niveau d’autonomie massique, mais aussi des leviers techniques pour améliorer l’autonomie alimentaire de son élevage.