Selon le programme Optialibio piloté par l’Institut de l’élevage, les élevages laitiers bio ont intérêt à gagner en autonomie alimentaire notamment pour faire face aux changements climatiques.
Le repli de production de viande bovine enregistré en France en 2017 devrait se poursuivre en 2018, sont les prévisions élaborées par le GEB-département de l'économie de l’Institut de l’élevage.
Le 8 janvier, à Rennes, a été officiellement lancé le projet Interreg Dairy-4-Future. L’objectif de ce programme européen ? Apporter des solutions techniques aux acteurs amont et aval de la filière laitière afin d’améliorer la résilience et la durabilité des systèmes laitiers de l’Espace Atlantique.
Connaissez-vous l’autonomie alimentaire de votre exploitation ?AutoSysEl, propose un diagnostic pour évaluer son niveau d’autonomie massique, mais aussi des leviers techniques pour améliorer l’autonomie alimentaire de son élevage.
Pour la deuxième année consécutive, les revenus des éleveurs laitiers en 2016 chuteraient à des niveaux très bas, selon une pré-estimation (au 31 août) du département économie l’Institut de l’élevage.
Selon Agreste, en 2010, 25 000 chefs d’exploitation se sont installés au cours des deux années, soit 12 500 par an. Cependant, entre 2000 et 2010, il y a eu 1 590 installations par an en bovins lait en France et 1060 en bovin viande soit 20% des installations.