La production de viande bio a été très dynamique entre 2010 et 2018, selon une étude de l’Institut de l’élevage, « et a probablement encore progressé depuis », note Eva Groshens, responsable de projet à l’Idele. Mais beaucoup de veaux, laitiers ou allaitants, quittent la filière bio pour le circuit conventionnel.
L’Itab a conçu avec divers partenaires un outil avec pour objectif de maintenir un état de santé global du troupeau ruminants en utilisant au minimum les intrants médicamentaux. Ce qu’on appelle chez les bio : l’équilibre sanitaire.