Sylvain Klein, éleveur de vaches laitières en Moselle, s'est tourné vers la race montbéliarde. Il a choisi le croisement d’absorption, une technique sécurisante selon lui, tant du point de vue économique que sanitaire. Il a ainsi façonné, lentement mais sûrement, un troupeau qui répond à ses objectifs.
Dans quelques mois, les taureaux montbéliards seront indexés sur le critère du trayon surnuméraire. C’est ce qu’annonce Montbéliarde association, suite aux travaux de recherche conduits sur ce thème par une équipe d’Allice/Inrae, depuis 2018. L’occasion de mettre au point une méthode d’indexation qui devrait être amenée à se généraliser.
Depuis juin 2018, accompagnés par les équipes de l’Institut de l’élevage (Idele) et l’UMT eBIS, Montbéliarde association et ses membres planchent sur un nouvel ISU.
Pour le deuxième épisode de « Question de santé » spécial boiteries, direction les Côtes d’Armor (22). Le Gaec Le Mauff possède un troupeau de 145 vaches composé ....
Pour ce nouvel épisode de Question de santé spécial boiteries, direction le Doubs. Au Gaec du Séquoia, Florent Henriet éleve 150 montbéliardes sur 250 ha pour une production annuelle de 850 000 l...
Après avoir comparé la montbéliarde et la prim’holstein sous leurs aspects biologiques dans notre premier article, l’heure est venue de comparer le coût de production de ces deux troupeaux.
Souvent comparées, les prim’holstein et les montbéliardes disposent de critères de productivité à la fois similaires et différents. De ce fait, les coûts de production varient d’un système à un autre.
Le croisement entre races bovines laitières reste très peu développé en France. Selon l’Inra, dans le contexte actuel de prix instables, tant pour les intrants que pour le lait commercialisé, « cette pratique apparaît comme une voie pertinente pour améliorer les performances technico-économiques des ateliers initialement en race pure Holstein et produisant jusqu’à 9 000 l/vache/an ».
Fortement utilisé aux États-Unis, en Nouvelle-Zélande et aux Pays-Bas, le croisement laitier reste marginal en France mais connaît un regain d’intérêt. En 2015, les croisements représentaient 1,5% des IA premières, en croissance de 30 à 40 % par rapport à 2010.