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montbéliarde

Reportage

Croisement d'absorption : un éleveur laitier raconte son passage en montbéliarde

Publié le 11/01/2023 par Agathe Legendre dans
Sylvain Klein, éleveur de vaches laitières en Moselle, a choisi la race montbéliarde, et le croisement d'absorption.

Sylvain Klein, éleveur de vaches laitières en Moselle, s'est tourné vers la race montbéliarde. Il a choisi le croisement d’absorption, une technique sécurisante selon lui, tant du point de vue économique que sanitaire. Il a ainsi façonné, lentement mais sûrement, un troupeau qui répond à ses objectifs.

Génétique

Montbéliarde : les trayons supplémentaires bientôt indexés

Dans quelques mois, les taureaux montbéliards seront indexés sur le critère du trayon surnuméraire. © A. Coronel/Terroir Est

Dans quelques mois, les taureaux montbéliards seront indexés sur le critère du trayon surnuméraire. C’est ce qu’annonce Montbéliarde association, suite aux travaux de recherche conduits sur ce thème par une équipe d’Allice/Inrae, depuis 2018. L’occasion de mettre au point une méthode d’indexation qui devrait être amenée à se généraliser.

Génétique

Un nouvel ISU en 2022 pour la montbéliarde

Publié le 16/09/2021 par Claire LAMY GRANDIDIER dans
Depuis juin 2018, accompagnés par les équipes de l’Institut de l’élevage (Idele) et l’UMT eBIS, Montbéliarde association et ses membres planchent sur un nouvel ISU. CP : Pixel6TM

Depuis juin 2018, accompagnés par les équipes de l’Institut de l’élevage (Idele) et l’UMT eBIS, Montbéliarde association et ses membres planchent sur un nouvel ISU.

Salon

Agrimax accueillera le Show Open Génisses

Les 23 et 24 octobre 2019, Agrimax accueillera le Show Open Génisses.

C’est un événement à ajouter d’ores et déjà à votre agenda, en 2019 Agrimax accueille les 23 et 24 octobre le Show Open Génisses.

Question de santé spécial boiteries #2

Changement de bâtiment, comment limiter les risques de boiteries ?

Julien Le Mauff, éleveur dans les Côtes-d'Amor a suivi une formation au parage et à la détection des boiteries.
Pour le deuxième épisode de « Question de santé » spécial boiteries, direction les Côtes d’Armor (22). Le Gaec Le Mauff possède un troupeau de 145 vaches composé ....

Question de santé spécial boiteries

Les six étapes clés du parage préventif

Florent Henriet, éleveur dans le Doubs, réalise le parage fonctionnel.
Pour ce nouvel épisode de Question de santé spécial boiteries, direction le Doubs. Au Gaec du Séquoia, Florent Henriet éleve 150 montbéliardes sur 250 ha pour une production annuelle de 850 000 l...

Holstein-Monbéliarde

Choisir sa race pour réduire ses coûts

À l'échelle de l'exploitation, le meilleur niveau de produits, associé à des charges opérationnelles maîtrisées, permettent aux élevages en montbéliarde de générer plus de ressources financières ( EBE).

Après avoir comparé la montbéliarde et la prim’holstein sous leurs aspects biologiques dans notre premier article, l’heure est venue de comparer le coût de production de ces deux troupeaux. 

Performances biologiques

La montbéliarde devance la holstein

D'un point de vue biologique, la montbéliarde offre de meilleures performances.

Souvent comparées, les prim’holstein et les montbéliardes disposent de critères de productivité à la fois similaires et différents. De ce fait, les coûts de production varient d’un système à un autre.

Races bovines laitières

Le croisement s’accompagne de gains de rentabilité

Selon l’Inra, les effets bénéfiques du croisement entre races ne sont obtenus à plein qu’au bout de 10-15 ans et en soumettant tout le troupeau à un schéma de croisement rotatif. Photo : DR

Le croisement entre races bovines laitières reste très peu développé en France. Selon l’Inra, dans le contexte actuel de prix instables, tant pour les intrants que pour le lait commercialisé, « cette pratique apparaît comme une voie pertinente pour améliorer les performances technico-économiques des ateliers initialement en race pure Holstein et produisant jusqu’à 9 000 l/vache/an ».

Croisement laitier

Croiser pour tendre vers son troupeau idéal

"Croiser, c’est aussi pour moi se réapproprier la sélection et le plan d’accouplement", Hervé Léal, éleveur dans le Finistère. Photo : A.Cotens/Pixel Image.

Fortement utilisé aux États-Unis, en Nouvelle-Zélande et aux Pays-Bas, le croisement laitier reste marginal en France mais connaît un regain d’intérêt. En 2015, les croisements représentaient 1,5% des IA premières, en croissance de 30 à 40 % par rapport à 2010.

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