prairie

D’après Jérôme Pavie, responsable du service fourrage et pastoralisme de l’Institut de l’élevage, optimiser et diversifier la production fourragère améliorent l’autonomie alimentaire des systèmes en polyculture-élevage.

Le chaulage, comme toute intervention, doit se réfléchir. Il peut aussi bien être bénéfique à la prairie qu’apporter des conséquences négatives sur la pousse de l’herbe. 

Pour une fauche de qualité, le déprimage est une technique à mettre en place dès le début de la sortie d’hiver. 

Dans le cadre de son webinaire sur la destruction des prairies sans labour ni glyphosate, Arvalis – Institut du végétal a présenté une comparaison d’efficacité de différents outils, menée sur la ferme expérimentale des Bordes, à Jeu-les-Bois, dans l’Indre.  

Et si vous sollicitiez des étudiants pour un audit de vos cultures fourragères ? Chaque année, depuis 1986, Semae, l’interprofession des semences et plants, propose un outil pédagogique destiné aux étudiants de BTS agricole et d’IUT 1, appelé Concours Prairies.

Alors que la météo, plutôt pluvieuse, de cette année a rendu la moisson compliquée sur une bonne partie de l’Hexagone, elle a fait le bonheur des éleveurs ! 

Au 20 août, comme le révèle un communiqué Agreste, la météo reste favorable à la pousse des prairies. 

Commencé en 2019, le projet Praigly a pour objectif de trouver des solutions pour les éleveurs qui souhaitent détruire leurs prairies sans labour ni glyphosate, dans le cadre d’une destruction ou d’une destruction pour rénovation. 

L’herbe pâturée ou consommée en foin ou en ensilage peut contenir des plantes nocives pour les bovins. Parfois, certaines parties de ces plantes sont plus ou moins toxiques. 

Après Twitter, Semae part à la conquête d’un autre réseau social : Facebook ! La page Success Prairies offrira un terrain d’échanges entre éleveurs et experts de la gestion des prairies.