Pour les prairies, définir la bonne dose sous forme minérale ne se résume pas à compenser les exportations. Bon nombre de critères sont à prendre en compte pour ne pas sur ou sous-fertiliser les prairies permanentes et temporaires.
Dans le cadre du projet Praigly, l’une des actions était d’aller à la rencontre d’agriculteurs innovants, afin d'observer les techniques alternatives mises en place pour la destruction des prairies sans labour ni glyphosate.
Si l’utilisation d’images satellitaires est répandue en grandes cultures, pour l’ajustement de la fertilisation notamment, la gestion des prairies avec cette même technologie n’en est qu’à ses balbutiements. Le projet Herdect tente de valoriser ces données.
Afin d’être le plus autonome possible en protéines, Semae rappelle quelques éléments à prendre en compte pour tirer tout le potentiel protéique des prairies.Â
L’adaptation au changement climatique du système OasYs, mis en place à l’Inrae de Lusignan (Vienne), repose sur la diversification des ressources fourragères et l’évolution de la stratégie d’élevage. Les résultats technico-économiques sont encourageants.Â
Avant d’imaginer les variétés fourragères disponibles demain, faut-il encore identifier les caractéristiques attendues dans ce nouveau contexte climatique.
Ingénieur Arvalis-Institut du végétal, Gregory Véricel a rappelé, à l'occasion des Journées de printemps de l'AFPF qui se sont tenues début novembre en visioconférence, l'importance d'adapter la fertilisation pour assurer la production annuelle des
Initialement prévu les 10 et 11 juin 2020 dans les Vosges, le Salon de l’herbe et des fourrages propose à partir de ce jour six conférences en ligne ainsi que deux vidéos.Â
La ferme expérimentale de Thorigné-d’Anjou, située dans le Maine-et-Loire, possède 48 hectares de prairie naturelle et 52 hectares de prairie temporaire dont la durée de vie oscille entre deux et trois ans et peut aller jusqu’à cinq ou six ans.
Dans le monde, les prairies représentent 70 % de la surface agricole utile. Bénéfiques à l’environnement et sources d’autonomie pour les éleveurs, elles pourraient permettre à l’agriculture de relever le défi de l’adaptation au changement climatique. Mais comment les prairies réagiront-t-elles face au manque d’eau, combiné à des températures et des teneurs en CO2 plus élevées ?
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Les plantes fourragères pour les prairies selon le Gnis
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