Dans un webinaire organisé par le Cniel, le groupe « bâtiments d’élevage de demain », conduit par différents acteurs de la filière, a présenté ses résultats sur la ventilation des bâtiments d’élevage. L’objet de l’étude était de trouver des solutions afin de faire face au stress thermique des vaches laitières qui s’accroît d’années e
En mars 2020, les abattages totaux de bovins sont en repli de 5,7 % en têtes et de 3,3 % en poids, par rapport à mars 2019, selon la dernière note Agreste Animaux de boucherie du ministère de l’Agriculture.
Sur l’ensemble de l’année 2019, les abattages totaux de bovins ont baissé de 2,6 % en têtes et en poids, par rapport à 2018, selon la dernière note Agreste Animaux de boucherie du ministère de l’Agriculture.
Après une progression entre 2014 et 2016, le cheptel bovin français recule pour la troisième année consécutive, selon la dernière note Agreste conjoncture « Animaux de boucherie » du ministère de l’Agriculture.
La vache laitière, dont la capacité d’ingestion après le vêlage est insuffisante pour couvrir les besoins énergétiques de début de lactation, doit puiser dans ses réserves corporelles, principalement son tissu adipeux. Or, chez les vaches laitières qui présentent les meilleures productions de lait, la balance énergétique négative a une forte incidence sur leur capacité à se reproduire
L’Organisation de producteurs lait bio Seine et Loire et le Groupe Lactalis ont annoncé avoir conclu un accord sur l'augmentation du prix de base du lait biologique à la production pour 2019. L’accord porte le prix de base moyen à 473 €/1000 litres pour l’année, en hausse de 1,07% (+ 5 €) par rapport à 2018.
Le 6 juillet dernier, Josiane et Fabrice Sablé, de l’EARL de Fromentoriaux (Guilliers, Morbihan) ont ouvert au public leur unité de micro-méthanisation fonctionnant uniquement à base de lisier bovin, mise en service en décembre 2017.
Le repli de production de viande bovine enregistré en France en 2017 devrait se poursuivre en 2018, sont les prévisions élaborées par le GEB-département de l'économie de l’Institut de l’élevage.
Le croisement entre races bovines laitières reste très peu développé en France. Selon l’Inra, dans le contexte actuel de prix instables, tant pour les intrants que pour le lait commercialisé, « cette pratique apparaît comme une voie pertinente pour améliorer les performances technico-économiques des ateliers initialement en race pure Holstein et produisant jusqu’à 9 000 l/vache/an ».