Grâce à une offre en gros bovins très limitée en France, les prix se maintiennent. En revanche, la flambée des coûts de production continue sa course. Dans son nouveau « Tendances lait et viande » l’Idele dresse le bilan après le premier semestre de l’année.
L’Institut de l’élevage dresse un nouveau bilan de la conjoncture viande en France, sur le mois d’avril. D’un côté on retrouve les jeunes bovins avec des cours qui continuent de grimper, et de l’autre les vaches qui suivent la même tendance.
En Europe, le constat est le même qu’en France. Les cours des jeunes bovins ainsi que des femelles restent particulièrement élevés. Dans son bilan « Tendances lait et viande », l’Institut de l’élevage dresse son premier bilan de l’année.
En ce début d’année, l’Institut de l’élevage dévoile les cours des vaches et des jeunes bovins. Des prix qui restent hauts et qui compensent ainsi, en partie, la forte hausse des charges.
Pour sa 58e édition, le Salon international de l’agriculture, qui se tiendra au parc des expositions de la porte de Versailles du 26 février au 6 mars, a choisi de mettre à l’honneur la race abondance. Elle sera représentée par Neige, une vache de 4 ans, propriété de la famille Missillier au Grand-Bornand (Haute-Savoie).
Selon la dernière note de conjoncture mensuelle filière bovine publiée par FranceAgriMer, le marché est resté porteur au mois d’août pour les gros bovins, notamment pour les vaches et les jeunes bovins.
« La forte demande pour la viande française soutient les prix des vaches. Les cours des JB restent bas mais commencent à se redresser, notamment grâce aux ventes vers l’Allemagne », observe l’Institut de l’élevage dans sa dernière note « Tendances Lait & Viande ».
Le cheptel allaitant français est en recul continu depuis la fin 2016 et le rythme de baisse est actuellement proche de 2% d’une année sur l’autre. Tels sont les enseignements de l’étude « Dynamique allaitante » conduite par l’Institut de l’élevage et présentée lors d’un webinai
Huit semaines après le début du confinement qui a entraîné un profond changement des habitudes de consommation, l’Idele dresse le bilan de la situation actuelle. Si les cours des broutards se maintiennent, ceux de bovins plus âgés sont plus à la peine.
Fort de ses compétences de maréchal-ferrant et de son expérience de pédicure bovin, Nicolas Fournier a conçu et mis au point la première logette ergonomique, qui respecte parfaitement les besoins physiologiques de la vache, en particulier quand elle se couche et se relève.