Dans son dernier communiqué, l’Ordre national des vétérinaires salue la démarche de l’Œuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs (OABA) en faveur d’un étiquetage des viandes visant à informer les consommateurs des conditions d’abattage. Il sera indiqué clairement si l’animal a reçu ou non la pratique d’un étourdissement.
L'Organisation des nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) vient de publier un nouveau rapport sur les perspectives de l’alimentation présentant les tendances de la production et des marchés en 2020-2021 pour les produits alimentaires les plus commercialisés.
Dans son dernier webinaire, l’Idele a montré que les marchés français de la viande bovine reprenaient des couleurs. Si nos voisins ont également été touchés par la crise du Covid-19, ces derniers s’en sortent avec plus ou moins de difficultés. Globalement, la tendance semble s’améliorer.
Les derniers résultats du panel des achats des ménages français Kantar ont été analysés par l’Institut de l’élevage : « En avril, pour la viande bovine écoulée dans les boucheries artisanales et dans les grandes surfaces, nous avons pu observer une progression, toutes viandes confondues, de 20,9 % en volume et de 2,7 % en valeur », observe Philippe Chotteau, chef du département économie à l’Institut de l’élevage.
Caractériser la qualité des aliments en fonction des conditions de production et de transformation des animaux d’élevage, tel était l’objectif de l’expertise scientifique collective pilotée par Inrae. Une vingtaine de scientifiques en sciences animales, des aliments, de la santé humaine et en sciences économiques et sociales ont analysé la qualité des aliments d’origine animale produits et consommés en Europe.
Lors de ses webinaires sur les marchés mondiaux, l’Institut de l’élevage a livré son analyse sur le marché de la viande bovine et des bovins vifs en Europe. Quels sont les impacts du Covid-19 ? Quelles sont les perspectives de reprise ? Les économistes transmettent leurs analyses.
En 2019, la France et les pays de l’Union européenne ont continué d’exporter des animaux vivants vers l'Europe et vers les pays tiers. Désormais, les destinations se diversifient dans les pays du Moyen-Orient.
Huit semaines après le début du confinement qui a entraîné un profond changement des habitudes de consommation, l’Idele dresse le bilan de la situation actuelle. Si les cours des broutards se maintiennent, ceux de bovins plus âgés sont plus à la peine.
À situation exceptionnelle, mesures exceptionnelles. Pour faire face aux conséquences du Covid-19, la filière des viandes limousines label Rouge a dû s’adapter.
Après plus d’un mois de confinement lié à l'épidémie de coronavirus, l’Idele fait le point sur la conjoncture bovine, et notamment sur le marché des veaux de boucherie.