Un pôle ovin dynamique

La 27^e édition du Sommet de l'élevage dédie 2 000 m² aux ovins dans le hall 5. De nombreuses animations ponctueront les trois journées du Salon avec, en point d'orgue les concours spéciaux des moutons charollais, texel, suffolk et île de France. Cette édition sera également marquée par un challenge génétique pour les races rustiques : les "Rustiques d'Or".

Les objectifs des responsables professionnels sont de "développer le pôle ovin, d'asseoir sa notoriété et de renforcer les liens avec les éleveurs internationaux".

Les visiteurs pourront également assister à deux ventes aux enchères — une en race Suffolk, une autre en race Hampshire —, à des flashs techniques thématiques autour du choix des béliers, le marché de l'agneau bio, ou encore les atouts d'une production en label rouge, à des démonstrations de tonte mais aussi aux « Ovinpiades Découvertes » afin de familiariser les élèves d’établissements agricoles au métier d’éleveur ovin, et la 2^e édition des Ovinpiades des Anciens.

La filière ovine recrute

Toutes ces animations s’inscrivent dans le cadre du programme d’actions techniques et de promotion, Inn’Ovin, lancé en 2015, qui vise à donner une nouvelle dynamique à la filière ovine. Le programme s'articule autour de quatre axes de travail :

- le renouvellement des générations et l'attractivité des métiers ;
- la performance technique et économique des exploitations pour améliorer le revenu ;
- l'amélioration des conditions de travail des éleveurs et le salariat ;
- l'environnement, la transition énergétique et l'aménagement du territoire.

L'ambition, clairement affichée est d'atteindre + 10 % d’agneaux en 2020.