Ce plan lancé par Amorim en 2013 vise à rendre les zones forestières de chênes-lièges existantes plus résilientes, tout en permettant l’introduction de nouveaux modèles sylvicoles.
L’irrigation des arbres est une des pierres angulaires du projet. La technique permettrait de réduire de près de quinze ans le délai nécessaire pour une première récolte de liège.
Amorim souhaite en complément développer la plantation subéricole plus dense, passant de 50 arbres/ha actuels à environ 350 arbres/ha. Dans ces conditions, « une plantation de 50 000 ha de chênes-lièges dans les dix années à venir permettra d’augmenter la superficie totale des suberaies…
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