Dans le cadre de la semaine mondiale pour le bon usage des antibiotiques, l’Anses présente des résultats concernant l’antibiorésistance en santé animale.
Le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire a lancé vendredi le plan Écoantibio 3 (2023-2028) afin de poursuivre la lutte contre l’antibiorésistance engagée il y a plus de dix ans.
À la demande du Gouvernement français, et en collaboration avec l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la Commission européenne a accepté de financer un projet visant à proposer des solutions concrètes pour lutter contre l’indisponibilité de certains antibiotiques e
L’antibiorésistance est bel est bien devenu un problème majeur de santé publique concernant aussi bien la médecine humaine que la médecine vétérinaire. La surveillance des ventes d’antibiotiques est l’une des sources d’informations importantes utilisées pour l’évaluation et la gestion des risques en matière d’antibiorésistance.
La consommation d’antibiotiques risque d’augmenter de 67 % d’ici 2030 en élevage en particulier à cause de l’augmentation de la demande en produit carnés des pays émergents.
Véritable enjeu pour la médecine vétérinaire, l’antibiorésistance est reconnue comme un problème majeur en termes de santé humaine et animale au niveau international.
Reconnue comme un problème majeur en termes de santé humaine et animale au niveau international, l’antibiorésistance est un enjeu pour la médecine vétérinaire.
Les antibiotiques ont pour vocation d’éliminer les bactéries vectrices de pathologies, ou d’empêcher leur prolifération chez l’homme comme chez l’animal. Mais, une utilisation répétée et excessive peut entraîner une diminution de leur efficacité et la sélection d’antibiorésistances chez les microorganismes visés.