Les éleveurs de races à viande du Grand Massif Central appellent à retenir au maximum les broutards en ferme. En effet, depuis plusieurs semaines, ils observent une baisse constante du prix de ventre des broutards décorrélée des réalités du marché.
L’Institut de l’élevage a analysé les derniers résultats du panel IRI sur la consommation alimentaire en France : « Le déconfinement n’a pas mis fin à la hausse des achats en GMS : en phase une du déconfinement, les achats restaient en hausse de plus de 10 %, reconnaît Caroline Monniot, chef de projet conjoncture bovins viande. En revanche, depuis le début de la phase 3 du déconfinement, soit le 22 juin, nous observons que la consommation se stabilise. »
En 2019, la France et les pays de l’Union européenne ont continué d’exporter des animaux vivants vers l'Europe et vers les pays tiers. Désormais, les destinations se diversifient dans les pays du Moyen-Orient.
À l’inverse du marché des gros bovins et des veaux de boucherie, celui des broutards français se maintient du fait d’une offre limitée et d’un marché italien qui reste dynamique. Néanmoins, les cours restent en dessous de ceux de 2019 pour la plupart des catégories.
Le repli de production de viande bovine enregistré en France en 2017 devrait se poursuivre en 2018, sont les prévisions élaborées par le GEB-département de l'économie de l’Institut de l’élevage.
Le 7 novembre 2017, Grand Angle Viande organisé par l’Institut technique de l’élevage à Paris a souligné d’emblée les paradoxes que vit encore la filière viande bovine.
Le rebond de production de viande bovine enregistré en France en 2015 devrait s’intensifier en 2016, sont les prévisions élaborées par le GEB-département de l'économie de l’Institut de l’élevage. La production française de bovins finis devrait augmenter d’un peu plus de 1 % cette année, à 1,52 million de tonnes équivalent carcasse (téc), après une hausse de 2,5 % l’an passé.
Au premier semestre 2016, avec près de 2,9 millions de têtes, la production totale de bovins en France est attendue en retrait de 1,4% par rapport à 2015 à la même période, indique le ministère de l’Agriculture dans une publication
Le rebond de production de viande bovine enregistré en France au second semestre 2014 devrait s’intensifier en 2015, selon les prévisions élaborées par le GEB-département de l'économie de l’Institut de l’élevage. La production française de bovins finis devrait augmenter de 4 % cette année, à 1,52 million de tonnes équivalent carcasse (téc), après une hausse de 1 % en 2014.