Alors que le nouvel étiquetage environnemental sera obligatoire dès 2022 sur les produits alimentaires, Interbev annonce son soutien au Planet-Score. Ce projet, développé par l’Itab et ses partenaires, est considéré comme « la seule alternative crédible et compréhensible face aux projets d’affichage reposant sur la seule analyse du cycle de vie (ACV) ».
Dans son dernier communiqué, l’Ordre national des vétérinaires salue la démarche de l’Œuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs (OABA) en faveur d’un étiquetage des viandes visant à informer les consommateurs des conditions d’abattage. Il sera indiqué clairement si l’animal a reçu ou non la pratique d’un étourdissement.
Lancée il y a un an, l’association Ferme France a pour ambition de permettre un progrès sociétal continu des entreprises adhérentes, et de revaloriser le modèle alimentaire français autour d’une offre de produits prenant en compte les enjeux sociétaux et les nouvelles attentes des consommateurs.
La France a été autorisée à poursuivre, pour une durée provisoire, jusqu’au 31 mars 2020, l’étiquetage obligatoire de l’indication de l’origine du lait, ainsi que du lait et des viandes utilisés en tant qu’ingrédients. Elle avait obtenu en 2016, de la Commission européenne, le droit de tester ce mode d’étiquetage mais seulement jusqu’au 31 décembre 2018.
Depuis le 1er janvier, les consommateurs ont vu apparaître sur les emballages de certains produits les pays de naissance, élevage et abattage des animaux pour la viande ou bien de collecte ainsi que de conditionnement ou de transformation pour le lait.
Sylvie Goy-Chavent, sénatrice UDI de l’Ain et rapporteure de la mission commune d’information du Sénat sur la filière viande en France et en Europe, a fait l’objet d’insultes, d’attaques personnelles et de menaces sur Internet, suite à la publication le 17 juillet du rapport en question.