La référence technique au service des éleveurs

graminées

Dérobées fourragères

Associer graminées et légumineuses: plus de protéines, autant de productivité

Plateforme d'essai Cérience. Crédit : Cérience

Les résultats de cinq ans d’essais menés par Cérience confirment l’intérêt d’implanter des dérobées associant graminées et légumineuses, pour améliorer l'autonomie protéique, sans détériorer la productivité.

Prairies

Comment exploiter au mieux les protéines présentes dans la prairie ?

Publié le 12/03/2021 par Claire LAMY GRANDIDIER dans
Comment exploiter au mieux les protéines présentent dans la prairie ? ©H.Grare/TerroirEst

Afin d’être le plus autonome possible en protéines, Semae rappelle quelques éléments à prendre en compte pour tirer tout le potentiel protéique des prairies. 

Prairies

Azote : la bonne dose au bon moment

L'azote est un élément indispensable pour la croissance de l'herbe mais bon nombre de facteurs sont à prendre en compte pour ne pas sur-fertiliser.

L'azote est certes indispensable, mais à raisonner. Pour les prairies, définir la bonne dose sous forme minérale ne se résume pas à compenser les exportations. Bon nombre de critères sont à prendre en compte pour ne pas sur-fertiliser.

Semences fourragères

Quatre étapes pour créer une nouvelle variété

Des échantillons sont réalisés à la récolte afin de déterminer la teneur en eau et la valeur alimentaire. Photo : S. Bot/ATC

Les sélectionneurs mettent une douzaine d’années pour créer une nouvelle variété de graminée fourragère. La sélection compte différentes étapes : la pépinière, le clone, le polycross et les essais en parcelle.

Maïs fourrage

Réussir le désherbage pour maîtriser le rendement

La concurrence des adventices s’exerce précocement sur la culture de maïs, dès le semis et jusqu’à ce que la végétation recouvre l’inter-rang, c’est-à-dire vers douze feuilles. Dans ces conditions, une lutte précoce est vivement recommandée, pour conserver tout le potentiel de la parcelle. Photo : H. Grare/Pixel image

Un désherbage maïs bien réalisé permet de limiter l’impact nuisible des mauvaises herbes et de conserver le potentiel de la culture en rendement et en qualité. Il limite de plus le risque de réenherbement de la parcelle et l’enrichissement du stock grainier d’adventices pour les cultures suivantes et les parcelles voisines

Valorisation de l’herbe

Toujours pâturer de l’herbe jeune

« Le coup de talon » permet de déterminer l’entrée des animaux dans une pâture. Photo: H. Grare / Pixel Image

« L’herbe pâturée, une ressource sous-estimée » était le thème d’une journée technique organisée par le GDSB des Ardennes, Ardennes conseil élevage et la chambre d’agriculture des Ardennes le 31 janvier dernier.

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