Comme tous les autres secteurs économiques, la filière laitière a subi un premier semestre 2020 tourmenté. La structuration de ses débouchés a en effet été profondément modifiée pendant la période de confinement. La fermeture de certains commerces et lieux de service s’est traduite par une forte diminution des ventes de produits laitiers à destination de la restauration hors foyers, des marchés, mais aussi de celles des rayons à la coupe des grandes surfaces.
« Le tarissement de la vache laitière doit faire l’objet d’une attention particulière. Les enjeux sont multiples : soigner et reposer la mamelle, préparer la lactation à venir ainsi que la future reproduction. Quels que soient la race, l’environnement et la saison, les objectifs sont toujours les mêmes », introduit Jérôme Larcelet, expert nutrition chez Seenorest.
En France, l'une des conséquences de la crise du Covid-19 est un surplus de pommes de terre estimé à 450 000 tonnes. Alors que le Groupement interprofessionnel de la pomme de terre (GIPT) demande une aide d’urgence pour la filière, l’Institut de l’élevage propose de valoriser cette production dans l’alimentation des bovins.
Pour cette nouvelle édition du concours des Graines d’Agriculteurs, la thématique de la gastronomie a séduit six éléveurs. Éleveurs de volailles, de vaches laitières, d’escargots et de chèvres, ces six jeunes installés comptent bien faire partie des trois lauréats.
Avec les fortes chaleurs actuelles, l’abreuvement au pâturage est un point essentiel pour le bien-être du troupeau. Voici quelques conseils du GDS pour que vos vaches profitent aux mieux de l’été.
Dans un contexte de forte volatilité du prix du lait et de hausse des coûts des intrants, la rentabilité des exploitations laitières est une préoccupation majeure de la filière. L'alimentation représente en moyenne 70 % des charges opérationelles. La recherche de l'efficacité alimentaire représente une des pistes d'optimisation des exploitations.