« L’année 2021, s’ouvre sur un contexte incertain, avec la fermeture quasi généralisée de la restauration en Europe jusqu’à une date indéterminée », c’est le constat que dresse l’Idele en ce début d’année.
Aujourd’hui, 47 196 fermes sont labellisées agriculture biologique, soit près de 10 % des exploitations françaises. En valeur, en 2019, la viande bio représente 401 millions d’euros, la charcuterie 178 millions d’euros, la viande porcine 143 millions d’euros et la viande ovine 72 millions d’euros.
Les éleveurs de races à viande du Grand Massif Central appellent à retenir au maximum les broutards en ferme. En effet, depuis plusieurs semaines, ils observent une baisse constante du prix de ventre des broutards décorrélée des réalités du marché.
La campagne « Ceci n’est pas un steak » est lancée par les acteurs européens de la filière viande pour influer le Parlement européen afin qu’il ne décide pas, en novembre prochain, de protéger certaines dénominations comme « saucisse végétarienne » ou« burger végétarien ».
Interbev lance une Web-série intitulée « La filière face au Covid-19 » pour rendre hommage aux hommes et aux femmes de la filière viande qui n’ont jamais cessé de poursuivre leur activité.
Il y a trois ans, Interbev affichait, dans son plan de filière, son ambition de doubler les volumes de viande bio en développant la consommation notamment au sein de la restauration collective et commerciale.
En 2019, la consommation française de viande s’est élevée à 5,7 millions de tonnes équivalent carcasse (tec), d’après les données FranceAgriMer, en repli de 0,9 % par rapport à 2018.
Maîtrise sanitaire et des charges alimentaires sont décisives pour la rentabilité́ d’un atelier d’engraissement de jeunes bovins, dont le prix de vente final est soumis aux aléas des marchés de l’export.
L’Institut de l’élevage a analysé les derniers résultats du panel IRI sur la consommation alimentaire en France : « Le déconfinement n’a pas mis fin à la hausse des achats en GMS : en phase une du déconfinement, les achats restaient en hausse de plus de 10 %, reconnaît Caroline Monniot, chef de projet conjoncture bovins viande. En revanche, depuis le début de la phase 3 du déconfinement, soit le 22 juin, nous observons que la consommation se stabilise. »