Les populations de rongeurs ou de mouches se portent bien autour des bâtiments d’élevage. Rapaces, chauves-souris et mustélidés, voilà quelques prédateurs capables de réguler leurs présences. Encore faut-il pouvoir accueillir cette biodiversité fonctionnelle autour des bâtiments.
Reconnecter les sites d’élevage au milieu naturel est un moyen de réguler les populations d’espèces non grata, comme les rongeurs et les mouches.>>> Noémie Bataille, ingénieure du service environnement de l’Idele, explique :
« Les nichoirs ou autres installations dans les bâtiments peuvent être contreproductifs et nuire à la biosécurité. En revanche, favoriser leur présence autour des bâtiments est tout à fait souhaitable pour réguler des espèces souvent vectrices d'agents pathogènes. »
Le couvert, mais pas le gîte
Noémie Bataille et Vincent Manneville, lui aussi, ingénieur à l’Idele, sont intervenus lors du webinaire « Bâtiments…
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