Interbev reçoit à nouveau le label Afnor « Engagé RSE de niveau 3 sur 4 »

Interbev reçoit à nouveau le label Afnor « Engagé RSE de niveau 3 sur 4 ». © Interbev
3 ans après la première évaluation de l'Afnor, Interbev conforte son niveau de labellisation « Engagé RSE de niveau 3 sur 4 » pour sa démarche de responsabilité sociétale « Aimez la viande, mangez-en mieux ».
 
En comparaison des résultats de l'audit Afnor 2018, Interbev obtient le score de 603 points sur 1000, soit une progression de près de 100 points supplémentaires.
 
L'Afnor souligne notamment la cohérence du pacte sociétal d'Interbev, autour de 4 enjeux majeurs : la préservation de l'environnement ; le bien-être, la protection et la santé des animaux ; la juste rémunération des acteurs de la filière et l'attractivité des métiers ; une alimentation de qualité, raisonnée et durable.
 
Des outils ont été élaborés et sont en cours de déploiement. Par exemple, CAP'2ER pour évaluer et améliorer les impacts environnementaux à l'échelle d'une exploitation, BoviWell pour évaluer le bien-être en élevage bovin, la création de grilles d'évaluation de la protection des animaux en centres de rassemblement et dans les abattoirs ou encore le déploiement d'un repère de portion pour une consommation adaptée à chacun et raisonnable.
 
La campagne de communication « Aimez la viande, mangez-en mieux » signée « Naturellement Flexitariens », est reconnue comme fédératrice, aussi bien par les professionnels de la filière que par les consommateurs.

L'Afnor alerte cependant sur la rémunération des éleveurs. Celle-ci demeure encore insuffisante, en dépit des travaux et outils développés par Interbev, visant au développement des contrats (guides de contractualisation et indicateurs de coûts de production).

Dominique Langlois, président d'Interbev déclare : « Je tiens à féliciter pour le travail accompli l'ensemble de nos familles professionnelles et comités régionaux pour l'obtention de cette notation qui vient conforter la pertinence de notre démarche collective de responsabilité sociétale. Cependant, j'en appelle aujourd'hui à l'ensemble des fédérations pour se mettre très rapidement en ordre de marche autour de l'enjeu d'une meilleure répartition de la valeur. En effet, la rémunération des éleveurs n'est toujours pas satisfaisante alors qu'il s'agit d'une condition sine qua non pour assurer la pérennité de la filière élevage et viande française. »

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