Christian Reclus, directeur général adjoint d’Arterris, explique pourquoi
le groupe a décidé de se recentrer sur le marché intérieur. Phtoto : DR
«Il faut être réaliste : nous ne pouvons pas prétendre à accéder au marché mondial des céréales ! » Cette affirmation, Christian Reclus, directeur général adjoint d’Arterris, en charge des grandes cultures, la justifie notamment par les rendements relativement moyens du bassin de production. « Le territoire d’Arterris s’étend des portes du Gers jusqu’au Sud de la Provence, dans des zones ou les contraintes hydriques et pédoclimatiques sont très importantes. Quand la Picardie affiche des rendements en blé tendre avoisinant les 100 qx/ha et que de notre côté…
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