À l’occasion d’une nouvelle série de webinaires intitulés « les Mardis Gras du Cniel », Mélanie Richard, directrice économie et filières du Cniel, a dressé, le 16 mars 2021, un panorama des marchés, mondiaux et français, du beurre et de la crème.
Le Cniel vient de lancer une plateforme interprofessionnelle présentant l’ensemble des aides ou des projets éligibles dans le cadre du plan de relance, les interlocuteurs et les modalités d’obtention.
Malgré un contexte perturbé par la pandémie de coronavirus, la production laitière a augmenté depuis le début de l’année 2020 dans les principaux bassins exportateurs mondiaux. Sur les sept premiers mois de 2020, la collecte progresse de 1,3% dans l’Union européenne, en Nouvelle-Zélande elle est globalement stable sur les huit premiers mois de l’année.
À l’occasion de l’assemblée générale du Cniel, qui s’est tenue le 9 septembre dernier, Thierry Roquefeuil, le président, est revenu sur l’année écoulée, marquée par deux crises majeures pour la filière : celle de Lubrizol, en septembre 2019, et celle de la Covid-19, toujours d’actualité.
Mise en ligne le 1er septembre, la plateforme Web Declic travail est un outil de sensibilisation des éleveurs de ruminants aux questions relatives au travail sur leur élevage.
Début avril, l’interprofession laitière demandait à la Commission européenne l’autorisation de mettre en place, pour le mois d’avril, un fonds de solidarité exceptionnel de dix millions d’euros afin d'indemniser tout éleveur dans son effort de limitation de production.
Dans son point hebdomadaire, l’Institut de l’élevage revient sur les dernières tendances de la collecte laitière et notamment sur l’impact du confinement pour les marchés laitiers.
Né de la contraction de « fromage » et d'« agissons », le terme « fromagissons » appelle les citoyens à un engagement militant et à une consommation solidaire, pour sauver le patrimoine fromager français.
La crise liée au Covid-19 et aux mesures mises en place pour limiter la pandémie désorganise profondément les marchés laitiers. Cette crise affecte très diversement les grands circuits de vente des produits laitiers français que sont le commerce de détail, l’exportation, les ingrédients vendus aux industries agroalimentaires et la restauration hors domicile.