Évaluer l’insertion des bâtiments d’élevage dans le milieu naturel

Article réservé aux abonnés

moulin en vent surplombant la campagne française

Pour favoriser la présence de prédateurs autour des bâtiments, rien de mieux que les arbres, les haies, les bois ou encore les mares.

Crédit photo Lotharingia - stock.adobe.com
Les populations de rongeurs ou de mouches se portent bien autour des bâtiments d’élevage. Rapaces, chauves-souris et mustélidés, voilà quelques prédateurs capables de réguler leurs présences. Encore faut-il pouvoir accueillir cette biodiversité fonctionnelle autour des bâtiments.
Reconnecter les sites d’élevage au milieu naturel est un moyen de réguler les populations d’espèces non grata, comme les rongeurs et les mouches.

>>> Noémie Bataille, ingénieure du service environnement de l’Idele, explique :

« Les nichoirs ou autres installations dans les bâtiments peuvent être contreproductifs et nuire à la biosécurité. En revanche, favoriser leur présence autour des bâtiments est tout à fait souhaitable pour réguler des espèces souvent vectrices d'agents pathogènes. »

Le couvert, mais pas le gîte

Noémie Bataille et Vincent Manneville, lui aussi, ingénieur à l’Idele, sont intervenus lors du webinaire « Bâtiments…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Bâtiments et matériel

Boutique
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15