Baisse de rendement et dégradation de la flore ne riment pas toujours avec rénovation totale des prairies. Et si modifier les pratiques suffisait à restaurer son potentiel de production ? L’alternance fauche-pâture, la gestion du pâturage tournant et le déprimage semblent avoir fait leurs preuves.
Les aléas climatiques intensifient le phénomène de dégradation des prairies et diminuent leur potentiel productif. Renovation complète, sursemis, plusieurs types de travaux peuvent alors être envisagés.Si le pourcentage de sol nu d’une prairie est inférieur à 10 % et si l’abondance des espèces de bonne valeur fourragère est supérieure à 40 %, alors une modification de pratiques peut restaurer le couvert végétal.
En revanche, si ces valeurs sont dépassées, d’autres méthodes de rénovation comme le sursemis ou encore l’implantation d’une nouvelle prairie doivent être privilégiées.
L’analyse de sol,…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?