Viande bovine : « La loi Egalim 2 n’offre pas suffisamment de sécurité aux éleveurs »

Article réservé aux abonnés

David Chataigner, coprésident de la section bovine de la Caveb

La contractualisation écrite oblige un producteur et son premier acheteur à se mettre d’accord à l’avance sur la méthode de calcul du prix payé, explique David Chataigner, coprésident de la section bovine de la Caveb.

Crédit photo Léa Fréhel
Depuis le 1er janvier 2023, la loi Egalim 2 a rendu obligatoire le contrat écrit entre un producteur et son premier acheteur. David Chataigner, éleveur de charolaises et vice-président de la Caveb, a testé le dispositif sur son exploitation. Il attend maintenant de la part du Gouvernement des évolutions réglementaires, notamment en matière de construction du prix.
« La loi Egalim 2 va dans le bon sens ! Pourtant, aujourd’hui, il y a encore des efforts à fournir, notamment dans la prise en compte des coûts de production », assure David Chataigner, éleveur de bovins allaitants et coprésident de la section bovine de la Caveb, une coopérative des Deux-Sèvres.

Entrée en vigueur le 1er janvier 2023 avec l’objectif d’améliorer la visibilité sur les volumes mis en marché et d’atténuer la volatilité des prix, la loi Egalim 2 a rendu obligatoire les contrats écrits entre un producteur et son premier acheteur.

Pour cette filière qui s’est longtemps adaptée aux marchés,…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Viande

Vie Exploitation Agricole

Boutique
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15